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il y a 4 ans
La vie est pleine de surprises. On croit connaître certaines personnes, et parfois le hasard nous les fait découvrir bien différemment. C’est ce qui m’est arrivé il y a une dizaine d’années.
Mon prénom est Frédéric (mais on m’appelle Fred), trente-cinq ans à l’époque, marié à Céline qui nous a donné deux e n f a n t s. Nous habitions en proche banlieue parisienne. Brune aux cheveux longs, plutôt grande et mince, Céline entretenait son corps en pratiquant des activités sportives régulièrement, ceci à côté de son travail de comptable. De mon côté, ingénieur informaticien, brun aux yeux verts de 1,85 m pour 80 kg, j’essayais d’en faire autant, même si je n’avais pas toujours le temps de pratiquer mes sports favoris.
Si Céline était toujours belle et sensuelle après douze années de vie commune, j’avoue qu’à cette époque nous avions conscience que nous commencions à entrer dans une certaine routine sexuelle petit à petit. Si cela ne nous posait pas de question de couple à cette époque, nous nous sommes interrogés sur l’usure progressive inévitable du couple à la longue.
En voyant pratiquement tous nos amis de notre âge divorcer autour de nous, souvent à la suite de petites liaisons passagères sans réelles importances, nous en avions parlé un jour très librement. Et plutôt que de tout casser si cela nous arrivait, nous avions décidé alors de nous autoriser, « si besoin était » ( !) une petite passade provisoire et discrète. Nous avions même convenu que l’idéal serait que l’autre ne s’en aperçoive pas, préservant ainsi surtout la solidité du couple et de la famille. Et si je ne préférais pas me poser la question de savoir si ma femme avait profité de cette « petite opportunité passagère », de mon côté je ne l’avais jamais mise en pratique.
À cette époque, nous étions souvent en contact avec mes beaux-parents, Nadine et Patrick, qui habitaient aussi en banlieue pas très loin de chez nous, ce qui faisait qu’ils pouvaient profiter de leurs petits-e n f a n t s, et parfois nous les garder quand on voulait sortir.
Par le jeu du hasard, je m’occupais activement à cette époque de la gestion d’une maison de vacances que possédait ma belle-mère par héritage. Cette maison était située sur la frontière suisse, en Haute-Savoie. Dans les faits, j’étais le seul de la famille à vouloir conserver cette maison, car l’hiver je l’utilisais à plusieurs reprises pour y faire du ski avec une bande de copains, ceci sur un domaine particulièrement étendu. De plus, l’été j’y amenais ma petite famille où nous passions des vacances montagnardes idéales.
Il fut un temps où ma belle-mère voulait vendre cette maison. J’avais cependant réussi à la convaincre de ne pas se précipiter avec le deal suivant quelle m’avait alors concédé : je pouvais utiliser cette maison qu’elle acceptait de ne pas vendre à partir du moment où je m’occupais de sa gestion complète et de son entretien. Ce deal me convenait fort bien.
Cela dit, la relation que j’entretenais alors avec mes beaux-parents était plutôt conventionnelle, courtoise, mais sans plus. Mon beau-père Patrick travaillait dans une banque en tant que responsable d’agence, et ma belle-mère était la patronne d’une société d’investissements immobiliers qu’elle avait créée. À signaler que, si à cinquante-sept ans elle était plutôt « belle femme », elle ne faisait rien pour se mettre en valeur. Grande brune aux cheveux mi-longs, alors qu’elle avait une jolie poitrine qui devait approcher du 90 B ou C et qu’elle avait une paire de fesses très plaisante à regarder (avec tout ce qu’il faut, mais pas plus !), elle n’avait jamais un bouton de corsage dégrafé ou un croisement de jambes qui aurait pu paraître un tantinet sensuel. Ni dans son job, où pourtant la communication est importante, ni bien sûr dans sa vie familiale.
Si on rajoute à cela le fait qu’elle était sujette aux chutes de tension, et qu’elle était alors souvent « patraque » comme elle le disait, je savais que certaines de nos relations, qui trouvaient qu’elle était plutôt distante, l’avaient surnommée entre eux « Misscoincée».
Un après-midi de mai, j’avais terminé tôt mes rendez-vous sur Paris et revenais vers le métro pour repasser à mon bureau. C’est alors que je vis ma belle-mère sur l’autre trottoir marchant vite dans l’autre sens. Malgré ses grosses lunettes de soleil, je l’ai reconnue facilement, car elle portait une robe légère de lin marron qu’elle affectionnait, et surtout elle avait son habituel sac rouge en bandoulière.
Je me dis que c’était sans doute le moment de discuter avec elle discrètement de la fête que nous voulions faire à son mari Patrick pour ses prochains soixante ans. Je fis donc demi-tour et commençais à la rattr a p e r un peu, quand d’un seul coup elle entra dans une sorte de couloir entre des bâtiments et disparut de ma vue. J’eus du mal à traverser, puis quand j’y réussis je m’approchai du couloir un peu interloqué. Ce couloir menait à un escalier d’une vingtaine de marches, que je descendis, puis à une porte portant un écriteau : « Le 97— Club Privé ».
Alors là, j’avoue avoir été plutôt interrogatif sur la conduite à tenir. Jamais je n’aurais imaginé ma belle-mère fréquenter un club privé. D’ailleurs qu’est-ce que ça veut dire au juste ? Sur le numéro 97 j’avais compris que comme il était situé au 97 de la rue B… le nom avait été facile à trouver. Mais pour le reste, mystère.
Je réfléchis durant environ cinq minutes, puis je me dis que finalement je ne risquai rien à appuyer sur la sonnette… et que je verrai bien quoi faire ensuite. Connaissant ma belle-mère, Nadine, la sachant passionnée d’échecs et de bridges, je me dis que cela pourrait être une salle d’entraînement pour elle qui se préparait régulièrement à des championnats de haut niveau.
Un peu tendu quand même, j’appuyai sur la sonnette…
La porte s’ouvrit quelques instants plus tard dans une demi-pénombre, et une belle femme blonde d’une trentaine d’années m’accueillit avec un grand sourire et un super décolleté.
— Bienvenu au 97, me dit-elle en souriant.
Et voyant mon hésitation :
— N’hésitez pas, entrez. Je ne vais pas vous manger !
Je fis deux pas en avant, et elle referma la porte. J’entendais de la musique au loin, tout en distinguant des costumes de déguisements posés pêle-mêle sur une banque d’accueil face à un vestiaire plutôt bien rempli. Vestiaire dans lequel j’aperçus le sac rouge de ma belle-mère. Pas de doute, elle était bien là.
— Je vois que vous êtes un petit nouveau ici, me dit la femme. Je suis Laura. Je ne vous demande pas comment vous avez eu notre adresse, cela ne se fait pas ici. Aujourd’hui, c’est une après-midi « américaine ». Cela vous tente ?
Troublé, ne sachant trop quelle attitude tenir, je répondis :
— Pourquoi pas, mais si on m’a parlé de votre établissement, mentis-je, on ne m’en a pas dit beaucoup plus. Pouvez-vous me le présenter en quelques mots ?
Toujours souriante, elle s’approcha de moi et m’expliqua :
— Ici, c’est un club de danse. Rétro et aussi disco. Les clients qui viennent sont souvent incognitos, car il n’est pas facile de pratiquer la danse de nos jours. Il y a de tous les âges, et chacun fait ce qu’il veut. La grande piste de danse accueille la majorité des danseurs, mais il y a plusieurs petites pistes pour ceux qui veulent s’isoler. La règle est la discrétion, chacun respecte l’intimité des autres.
C’était très étonnant. Je n’imaginais pas ma belle-mère dans un tel lieu…
Devant mon incertitude, la jeune femme reprit :
— Comme vous êtes nouveau, aujourd’hui si vous le voulez, je vous invite. Vous pourrez vous faire une idée. En plus, vous avez de la chance avec cette journée « américaine ». Je vous explique : vous devez mettre une perruque et un masque pour ne pas que l’on vous reconnaisse. Puis vers la piste de danse, ce sont les femmes qui invitent, les hommes sont obligés de s’exécuter… Et au moment de partir, les hommes quittent leurs masques dans la pièce d’à côté et ont leur propre sortie pour que l’anonymat soit respecté.
Ah oui, je commençais à comprendre ! Un après-midi comme une sorte de quart d’heure américain prolongé, mais chacun étant masqué, le but étant que personne ne sache pas qui a dansé avec qui….
— Mais pour être franche, continua-t-elle en rigolant franchement, je vais vous prévenir quand même : si une femme vous entraîne dans un des petits salons de danse, attention à vous… Aujourd’hui, elles ont tous les droits sur vous, sauf celui de vous enlever le masque. Tout doit rester incognito… Alors, tenté ?
Ma décision fut vite prise, surtout compte tenu de l’anonymat donné par le masque et la perruque. Je me suis dit que finalement, je suis invité, je me balade en regardant, je danse si j’en ai envie… et si je croise Nadine, je verrai bien, de toute façon elle ne saura pas que c’est moi.
J’acceptai la proposition de Laura, me choisis une perruque blonde cheveux mi-longs pour homme, et un loup noir très fin et très souple qui collait cependant bien à ma peau. Je me regardai dans la glace pour vérifier le résultat : j’étais méconnaissable. De plus, petite touche supplémentaire, j’avais au poignet un bracelet de soie que m’avait donné la veille en cadeau de bienvenue un chef d’entreprise hindouiste avec qui je négociais. Selon lui, ce bracelet porté trois jours d’affilés était susceptible d’influencer positivement mes projets professionnels. Je n’y croyais pas bien sûr… cela dit, on ne sait jamais. Mais là, orange vif, il était tout à fait dans le ton de mon déguisement.
Je fermai à clé ma mallette de travail pour la laisser au vestiaire, pris les billets donnés par Laura (qui me fit gentiment un petit bisou en me souhaitant « bon après-midi, bel inconnu… ») et descendis encore une vingtaine de marches en me rapprochant de la musique…
Au détour du couloir, je me suis retrouvé en pleine salle de danse. Une salle relativement grande, avec une piste et une estrade, des fauteuils en alcôve sur les côtés, et un bar qui tenait tout une largeur de mur. La climatisation était parfaitement efficace, il y faisait très bon.
Une cinquantaine de couples dansaient sur un paso, et je constatai que le niveau des danseurs était très bon. Formé dès l’a d o l e s c e n c e par mes tantes, j’ai toujours été bon danseur, même si j’ai souvent caché cela dans les cérémonies et événements familiaux. Pour éviter d’être le « taxi danseur » de service…
Là, ça dansait bien. Il y avait des couples de tous âges, sans doute entre dix-huit et presque quatre-vingts ans, pour autant que l’on puisse voir les corps évoluer, même si les déguisements dissimulaient bien les visages. J’ai aimé de suite ce lieu où l’ambiance était discrète et sereine. Pour un peu, je me serais cru en vacances, et même en croisière.
Mais je n’eus pas le temps de chercher ma belle-mère, une femme « arlequine » me prenant par le bras en me disant :
— Merci de m’offrir ce tango, mon ami.
Car derrière le paso, une série de tangos prit la suite. Alors, je me suis lancé, avec plaisir, j’en conviens, le tango étant ma danse préférée. Et visiblement, mon arrivée ne passa pas inaperçue, beaucoup de danseurs nous regardaient et cherchaient à deviner qui était derrière nos masques. Tout en dansant, je découvrais ce lieu qui me semblait magique et hors normes. Au fond, aux quatre coins de la salle, je devinais des petites pistes plus intimes, plus discrètes… Certainement les salons dont m’avait parlé Laura.
La série se termina, et je remerciai ma partenaire en filant rapidement vers le bar pour ne pas être sollicité à nouveau. Un bar de qualité avec tout ce qu’il faut comme consommation et, chose rare à Paris, à des prix tout à fait corrects.
En jetant un coup d’œil vers un des salons du fond, je reconnus ma belle-mère grâce à sa robe. Je m’approchai et constatai que si elle avait son visage dissimulé elle aussi par un loup, elle avait dégrafé deux boutons du haut, laissant voir ainsi largement ses seins lourds. D’autre part, elle croisait les jambes mine de rien, mais quand même de manière à ce que sa robe remonte très haut.
Je tombai des nues ! Très affriolante, je ne l’avais jamais vu ainsi. Où était la « Misscoincée » ? Là, Nadine était une autre femme, une femme sensuelle et attirante.
Elle était en grande discussion avec un jeune garçon d’une vingtaine d’années, discussion dont j’entendis quelques phrases. En fait, elle lui disait que « c’était pas possible entre eux, que c’était une erreur, qu’il était bien trop jeune pour elle et qu’il devait chercher une fille de son âge ». .. Alors là aussi, je ne m’attendais pas à ça. Je commençai à penser que belle-maman avait une double vie, et une sacrée double vie…
Au point où j’en étais de mes découvertes, je me dis alors que je n’avais pas intérêt à ce qu’elle découvre que je sois là. Je commençais sérieusement à penser que je devais quitter cet endroit, et le plus vite possible.
Mais c’était sans compter avec l’après-midi américaine, car une jeune bimbo d’une vingtaine d’années vint me prendre par le bras pour m’obliger à danser le cha-cha-cha avec elle. Et me voilà reparti pour une série… En faisant toujours autant le spectacle autour de nous.
Fin de la série, début des valses… Je commence à m’apprêter à filer en douce, quand une main me prend par la taille et qu’une voix que je connais bien me dit à l’oreille :
— Enfin des valses. Merci de me faire danser, bel inconnu…
Oupssssss… Et me voilà face à ma belle-mère, obligé de l’enlacer pour engager une valse sur « Le beau Danube bleu ». Tout en essayant de ne pas paniquer…
— Alors, bel inconnu, me dit-elle. On écoute aux portes ? Vous croyez que je ne vous ai pas vu quand je virais ce gamin ? À moins que vous veniez essayer de savoir si le chemin était libre ? Eh bien oui, il est libre.
Visiblement, elle m’avait remarqué lors de mon passage pourtant rapide vers le petit salon où elle recadrait le petit jeune. Et elle avait sans doute ensuite été se renseigner sur moi auprès de Laura. Fine mouche, la belle-mère…
— Il est muet, mon bel inconnu ? Ce serait dommage. Surtout que Laura m’a dit que vous étiez un très bel homme brun avec beaucoup de classe. Et comme elle et moi avons les mêmes goûts, je suis sûre que vous allez me plaire…
Glurpssss… La situation se complexifiait. Et je n’allais pas lui répondre bien sûr avec ma voix normale. Alors je descendis de deux octaves et lui dit d’une voix de crooner :
— Pas muet, chère amie, seulement patient. Laissez-vous aller. Profitez de cette danse magique…
Et je me lançai alors dans une valse fluide et très limpide, la tenant à peine dans mes bras tellement son corps s’adaptait complètement au mien. Je ne m’attendais pas à ça, mais elle valsait divinement, et je la guidais en parfaite harmonie, comme si nos deux corps ne faisaient plus qu’un.
C’était absolument magique, nos yeux ne se quittaient plus, et nous tournions comme si nous étions seuls sur les berges du Danube… Un grand moment de communion que j’ai rarement perçu dès la première danse avec une femme. Et après cette valse, il y en a eu une autre, puis une autre et encore une dernière. Un grand moment de bonheur, et je ne regrettais pas alors d’être resté.
À ce moment-là, il se passait beaucoup de choses en moi. L’image de ma belle-mère un peu coincée, la mère de ma femme, quand même, et la grand-mère de mes e n f a n t s se percutait avec cette femme sensuelle, bonne danseuse de surcroît. Il était encore temps pour moi de détaler sur un prétexte ou un autre, mais j’avoue que la découverte de ce lieu m’impressionnait, et la nouvelle personnalité de Nadine m’intriguait. En pesant le pour et le contre, je me dis alors que je ne risquais rien à rester un peu plus longtemps. Je verrais bien par la suite…
Après les valses, le DJ lança les slows. Et les lumières devinrent ultra tamisées.
— Je vous garde pour moi, bel inconnu, me dit-elle en se rapprochant de moi.
Elle se serra un peu contre moi, et on se laissa emporter par la musique alors que je commençais à sentir son corps me frôler à chaque mouvement. En regardant autour de moi, je vis que les couples dansants ne se privaient pas. Si quelques-uns gardaient une certaine distance entre eux, la plupart étaient collés l’un à l’autre, s’embrassant sans retenue. Sans parler des mains baladeuses… Visiblement, cette série de slows était très attendue.
— Pourrais-je connaître votre prénom, lui dis-je avec ma voix grave de rechange ?
— C’est Nadine, répondit-elle. Mais nous sommes tous ici pour la plupart mariés, et en situation parallèle vis-à-vis de nos conjoints ou conjointes. Donc discrétion oblige. Et vous ?
— Lucas, ajoutais-je après un petit temps de réflexion.
Et la danse nous emporta à nouveau. Nous étions dans un monde à part, nos corps désormais collés l’un contre l’autre ondulaient ensemble au rythme du slow torride « Me and Mrs Jones » de Billy Paul… Nos visages se rapprochèrent à moment donné. Enlacés, avec le mystère excitant de nos deux loups noirs de velours, nous nous regardâmes les yeux dans les yeux, nos lèvres à vingt centimètres à peine les unes des autres… Et si ses seins étaient désormais très durs et pointaient nettement contre moi, elle ne pouvait ignorer une certaine grosseur qui commençait à se développer contre sa cuisse, grosseur qu’habilement d’un mouvement du corps elle vint caler contre son ventre, ou plus exactement contre le bas de son ventre. Et là, sur le final très émotionnel de ce slow mythique, elle commença à approcher ses lèvres des miennes…
Que se passa-t-il dans ma tête à ce moment-là ? En fait, la magie de la danse m’avait amené à oublier ce pour quoi j’étais entré ici, et l’intensité des émotions reçues me faisait littéralement planer. Si c’était ma belle-mère qui était face à moi, c’était aussi une femme que je venais de découvrir, une femme qui m’envoûtait littéralement…
Alors, je la laissais faire. Finalement, je ne risquais rien, me semblait-il. J’avais mon loup, elle, le sien. On n’était pas censés se connaître, et je la quitterai sans qu’elle puisse savoir qui j’étais. Pourquoi ne pas profiter du moment présent ?
Nos masques très fins n’étaient pas un problème quand ses lèvres se posèrent sur les miennes. Et voyant que je ne retirais pas mes lèvres, je sentis sa langue pénétrer en f o r ç a nt un peu avant qu’elle ne m’embrasse en collant sa bouche à la mienne, me prodiguant une merveilleuse « langue fourrée » particulièrement voluptueuse. C’était divin…
Je savourais cet instant, c’était très fort. Et pendant qu’elle me prenait la tête d’une main pour mieux scotcher ses lèvres sur les miennes afin que sa langue prenne bien possession de ma bouche, elle mit son autre main sur mes hanches pour les pousser contre les siennes afin qu’elle puisse onduler doucement sur moi, et ceci le long de ce qui était devenu petit à petit une barre.
Quel délice, c’était bon…
Le disque se termina alors. Et comme il y avait un flottement dans les enchaînements de séries, elle me prit par la main et me dit :
— Allons prendre au bar un verre, et je vais vous présenter ensuite mon petit salon favori.
Au point où j’en étais, je me laissai faire. Comme nous tendions la main pour récupérer nos boissons, elle vit à mon poignet le bracelet hindouiste et m’en demanda la signification. Et après mon explication sur les supposées énergies positives professionnelles, elle ajouta :
— Eh bien, Lucas, si vos nouvelles énergies ont favorisé notre rencontre, vous m’en voyez comblée…
Et elle me reprit par la main pour me guider vers son fameux « petit salon de danse ».
En nous frayant un passage pour y arriver, nous fûmes poussés par un mouvement de foule et Nadine renversa un peu de sa liqueur de framboise en partie sur ma chaussure. Elle s’en excusa, même si en fait elle n’y pouvait rien. Une belle auréole ornait ma chaussure de toile.
— Ce n’est pas grave, je l’amènerai au pressing demain et tout rentrera dans l’ordre, lui assurai-je.
Cela la rassura, mais elle me fit promettre de revenir la semaine suivante le même jour, pour que nous puissions continuer à nous mieux connaître, sans masques bien sûr. Très hypocritement je lui assurai que je serai là « avec grand plaisir », mais bien sûr à ce moment-là, je n’envisageais absolument pas de revenir pour me dévoiler devant ma belle-mère… Cela dit, rassurée, elle me donna rendez-vous en milieu d’après-midi dans ce fameux petit salon où nous débouchâmes alors.
En fait, c’était une petite piste de danse entourée de fauteuils qui se faisaient face. De taille assez haute, ces fauteuils formaient des alcôves où l’on pouvait si l’on était assis voir et être vus, et si l’on était allongés être plus ou moins bien cachés. Et la pénombre entretenait le côté secret et discret de ce salon. De même que la sono qui n’y diffusait que des slows.
En entrant dans le salon, Nadine s’arrêta un instant, me regardant fixement tout en dégrafant deux boutons du haut de sa robe qui désormais dévoilait une grande partie de ses seins très libres dans un mini soutien-gorge noir. Et elle dégrafa aussi un bouton du bas, ce qui me permettait de voir très haut ses cuisses en laissant deviner sa culotte… Glurpssssssss…
Elle avait visiblement ses habitudes dans ce lieu, et nous nous assîmes à l’opposé d’une alcôve où l’on ne voyait d’une femme que sa tête tendue en arrière, tête qui visiblement s’agitait un peu dans tous les sens… Devant mon interrogation muette, ma compagne de cet après-midi inoubliable me dit en rigolant :
— Eh oui, Lucas. Elle a l’air heureuse, non ? En fait son compagnon que nous ne voyons pas est en ce moment agenouillé devant elle. Sûr qu’il se régale lui aussi…
Et devant ma surprise, elle ajouta :
— Comme je vous le disais, tout le monde fait ce qu’il veut ici, personne ne juge. Et n’oubliez pas aujourd’hui que c’est nous les femmes qui décidons ce que nous voulons et pourquoi nous sommes ici. N’est-ce pas, bel inconnu ?
Elle se colla alors à moi, et tout en me roulant une pelle d’enfer, elle commença à déboutonner ma chemise. C’était plutôt troublant, j’avais l’impression que les rôles de la séduction homme-femme étaient inversés, et qu’après m’avoir ouvertement dragué, elle voulait aller un peu plus loin dans le flirt…
Alors que ma chemise fut rapidement ouverte et qu’elle commençait à me griffer délicatement les seins, on entendit une petite sonnerie stridente.
— Zut, dit-elle, c’est le signal de la dernière demi-heure. Il va falloir commencer à se préparer à sortir…
Effectivement, le couple d’à côté se leva rapidement en se réajustant pour être présentable, puis pouffant de rire il nous salua discrètement en quittant le salon.
Me regardant fixement dans les yeux, ma belle-mère reprit :
— Et puis après tout, j’aurais tort de ne pas en profiter, c’est mon après-midi, nous sommes seuls et vous êtes à moi. Surtout que vous semblez bien apprécier, dit-elle en posant sa main sur la barre qui déformait le haut de mon pantalon…
Je me levai prestement pour essayer de la détourner de l’objet de ses attentions. Elle me dit alors en souriant :
— Vous semblez ignorer toutes les règles du jeu de ces après-midi, cher ami. Comme vous êtes à moi, si vous refusez de m’obéir, vous devez enlever votre masque… Choisissez !
Je n’avais pas le choix bien sûr. Au point où l’on en était, comme imaginer enlever mon masque… Alors que je reculai contre le miroir du salon, elle s’approcha de moi, défit ma ceinture, baissa mon pantalon sur mes cuisses, puis d’un geste sec baissa aussi mon slip d’où jaillit vers elle, tel un diable en boîte, mon sexe tendu.
Dans ma tête, ça se bousculait. Certes la femme qui était là, c’était ma belle-mère. Mais cette femme avait tout pour me faire capituler : du charme, de l’élégance, des seins appétissants et une petite culotte adorable qu’elle me montrait en écartant les jambes pas vraiment par hasard. Franchement, que pouvais-je faire d’autre que de « bander à m o r t ».
Très sûre d’elle, elle prit alors en main cette bite de bonne taille qui se présentait à elle, et commença à me branler doucement en m’embrassant très suavement. Je dois bien reconnaître que c’était exquis. Pour une « Misscoincée », elle savait y faire !
Puis, tout en m’astiquant de plus en plus vite d’une main et de l’autre en me griffant la poitrine de ses ongles acérés, elle se mit lentement à genoux devant moi, sa bouche à quelques centimètres de ma queue, ses seins quasiment découverts. J’y croyais pas…
Elle me regarda droit dans les yeux, et tout en continuant à me branler, elle commença à me lécher la queue, comme si elle avait à sa disposition un magnifique sucre d’orge. Sa langue montait et descendait, puis tournait autour du gland avant de redescendre avec application. Elle se régalait et gloussait de plaisir…
Enfin, elle commença à me sucer, sa bouche de velours allant et venant d’abord lentement, puis de plus en plus vite, de plus en plus profond. Et elle alternait, elle léchait, elle suçait, elle branlait… Et quand elle sentait mon sexe tressauter, elle retirait sa bouche pour lécher lentement mes couilles en les prenant dans sa bouche. Puis elle revenait vers ma queue, la reléchait avec application et gourmandise, la pressait avec attention, puis se remettait à la sucer très lentement, se l’enfonçant progressivement pour bien la caler au fond de sa gorge en me prodiguant une « gorge profonde » exquise. Une grande experte…
Je fermais les yeux et me disais vraiment que je découvrais là des talents cachés, bien cachés même, de ma belle-mère. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand d’un seul coup je l’entendis dire :
— Baise ma bouche, salopard, je suis ta pute de l’après-midi ! Vas-y, mets-la-moi bien profond au fond de la gorge ! J’adore sucer ! Je vais te faire gicler tout ce que tu as dans les couilles…
Absolument incroyable pour moi ! Ma belle-mère proférant de tels propos !
Et là, reprenant ma queue en bouche en se l’enfonçant progressivement, ce qui devait arriver arriva.
Alors qu’elle m’avait calé au plus profond qu’elle le pouvait et qu’une de ses mains me branlait le bas de la queue, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps, surtout qu’ayant été en déplacement une bonne partie de la semaine, je n’avais pas eu l’occasion de « m’occuper » de ma femme… Et je lui déchargeai une première longue et généreuse rasade qui vint tapisser le fond de sa gorge, rasade qu’elle n’attendait pas, car elle poussa une sorte de grognement en même temps qu’elle fut f o r c é e d’avaler de surprise.
Machinalement, je l’ai prise alors par la tête pour l’empêcher de bouger, et continuais à déverser dans sa bouche plusieurs autres belles giclées… Quel plaisir de jouir ainsi dans la bouche de sa belle-mère, quel bonheur de lui remplir la bouche de jets lourds et liquoreux de mon nectar le plus intime, quelle extase de me soulager en me vidant complètement en elle… C’était divinement exquis !
Je relâchai petit à petit ma pression sur sa tête, et m’aperçus qu’elle avait les lèvres bien serrées autour de ma queue. Puis doucement, gardant tout en bouche, elle commença des petits mouvements de langue, pour que mon plaisir et le sien se prolongent le plus longtemps possible, tout en se remettant à sucer lentement en faisant attention de ne rien perdre… Quelle jouissance ! Une Diva !
Toujours tout en douceur, elle se retira en faisant en sorte de ne rien laisser perdre. Et là, surprise pour moi, la bouche toujours pleine de mon nectar, elle me guida pour que je m’allonge près d’elle dans les fauteuils. Puis elle prit mes mains. Une pour la poser sur sa cuisse, l’autre pour la glisser sur ses seins, dans le haut de sa robe largement échancrée. Message compris !
Alors que je glissai ma main dans son soutien-gorge pour saisir un sein devenu très ferme, ses cuisses s’ouvrirent largement pour que mon autre main remonte vers sa chatte que je découvris alors bien humide à travers sa culotte. Doucement, je commençai à masturber ma belle-mère en allant et venant de haut en bas sur sa culotte, en tournant et en pressant son clitoris.
J’étais aux anges ! Suprême jouissance cérébrale pour moi que de branler ma belle-mère, Nadine !
Puis, la bouche toujours bien pleine, elle me regarda droit dans les yeux et elle commença à avaler, en plusieurs fois tellement il y en avait. La musique s’étant éteinte, je l’entendis déglutir avec des soupirs de satisfaction, et plus elle avalait, plus elle pressait mes mains sur ses seins et sur sa chatte.
Elle se mit alors à feuler doucement puis de plus en plus fort, poussant des « Hmmm » et des « Argggggg ». Elle commençait à jouir… Et je la vis s’arc-bouter et tressauter sous l’effet de convulsions, son corps tétanisé de plaisir… Jusqu’à ce qu’elle soit secouée par un orgasme intense que j’accompagnai en pinçant durement le téton du sein que j’avais en main, et en prenant totalement et fermement sa chatte dans mon autre main. Sous l’effet de ma prise de possession, elle décolla en secouant la tête dans tous les sens. Et plus elle s’arc-boutait, plus j’écrasais son téton, plus je pinçais durement son clito à travers sa culotte… Elle se mit à hurler, en vibrant telle une possédée…
— Whaouuuu ! Encore, salaud ! Vas-y plus fort, disait-elle… aaahhhhhhh…. !
Et me griffant les bras comme une démente, emportée par la vague d’un plaisir incontrôlable, elle secouait sa tête dans tous les sens comme une poupée de chiffon…
C’était super bon, pour elle comme pour moi… Et son orgasme dura facilement deux bonnes minutes, période d’extase qui la laissa pantelante, désarticulée… et ravie !
— Quel délice, dit-elle enfin en émergeant petit à petit. Vous êtes divinement bon à déguster, Lucas, c’est bon de boire votre élixir, quel délice exquis…
Puis après quelques instants de répit :
— Mais je ne veux rien laisser perdre…
Les yeux encore hagards, elle serra avec sa main le bas de ma queue, puis remonta très lentement tout du long jusqu’au gland, me trayant ainsi des dernières gouttes qu’elle pouvait récupérer, pour les faire jaillir sur sa langue et les avaler avidement. Et elle recommença plusieurs fois, décidée effectivement à ne rien laisser perdre !
Quelle jouissance pour nous deux… !
Puis dans un état second, nous nous allongeâmes sur les fauteuils en nous serrant l’un contre l’autre, pour savourer ce moment de bonheur précieux.
Mais Laura passa la tête pour nous rappeler qu’il était temps de « finir » et de nous « réajuster », tout en nous faisant un grand clin d’œil. Message compris. ..
— Il nous faut nous quitter maintenant, vous par le vestiaire des hommes et moi par celui des femmes. Je compte sur vous la semaine prochaine n’est-ce pas Lucas, me dit-elle ?
— Bien sûr je m’y engage, mentis-je…
Et après un bisou sur les lèvres et une dernière étreinte, nous nous séparâmes…
Je me dis, en quittant le club que je n’étais pas prêt d’oublier cet après-midi. Ce fut effectivement le cas…
Je rentrai ce soir-là à la maison après être passé au bureau pour expédier les affaires courantes.
Surprise, mon beau-père était là, et il avait donné rendez-vous à ma belle-mère pour se retrouver avant de rentrer chez eux. Selon lui, elle était allée à Paris pour « ses affaires » en transports en commun. En l’attendant, ma femme, Céline prépara un petit apéritif.
Je n’eus même pas le temps de me changer qu’elle arriva comme une trombe, comme à son habitude. Plus de femme sensuelle, la robe était reboutonnée jusqu’au cou et rien dans son attitude ne pouvait montrer ce qu’elle avait fait de son après-midi.
Elle me fit une bise normale, et cela me rassura au cas où à ce moment-là j’aurais pu penser qu’elle me reconnaisse. Elle nous dit qu’elle avait « viré » un jeune chef d’entreprise avec qui elle était en affaires pour la location d’un patrimoine immobilier, puis qu’elle l’avait transféré à quelqu’un de plus mûr, qui semblait plus approprié. Cela me fit discrètement sourire, surtout sa référence à son patrimoine. Mais comme tout allait bien, je commençai à servir l’apéritif.
C’est alors que tout bascula…
Quand je passai près de mon beau-père pour lui servir son vin blanc préféré, voyant à mon poignet le bracelet que je n’avais pas eu le temps d’enlever, il me dit tout haut :
— Fred, c’est quoi ce colifichet bizarre que vous avez au poignet ?
La réponse vint de ma femme :
— C’est un bracelet bouddhiste qui, soi-disant, va lui donner des ondes positives pour ses projets professionnels s’il le garde trois jours. Un cadeau d’un chef d’entreprise indien. Quelle blague, rigola-t-elle !
Et mon beau-père d’ajouter :
— Et vous croyez à ces bêtises, Fred ? Vous, un ingénieur si cartésien d’habitude ?
Je ne savais plus quoi dire…
— Euh, pas bouddhiste, hindouiste, réussis-je à dire…
Et je m’assis. Et regardai en coin ma belle-mère.
Elle était devenue d’un seul coup livide, blanche, tétanisée. Elle me fixait dans les yeux sans trop comprendre d’abord. Puis petit à petit, je sentis qu’elle commençait à paniquer. Sans doute devait-elle se dire que ce n’était pas possible… Que c’était même impossible…
Puis je vis le doute commencer à monter en elle. Je la vis étudier d’abord mon costume, ma bouche, puis mes yeux. Et là, comme nous avions quand même passés de longs moments les yeux dans les yeux, le doute devint plus fort. Le doute et même l’effroi, surtout qu’elle devait se remémorer ce que lui avait dit Laura en parlant de moi « un grand brun avec beaucoup de classe ». .. Il faut dire que de mon côté je fuyais son regard en faisant tout pour cacher ce malheureux bracelet par qui le scandale venait d’arriver.
C’est alors qu’elle repensa à la tache qu’elle m’avait faite sur la chaussure…
Mon beau-père et ma femme étant partis à discuter des nouveaux modes de management spirituels en entreprise, elle s’accrocha à la table des deux mains, prit une inspiration et plongea la tête dessous… pour constater effectivement que ma chaussure de toile avait une belle tache…
Quand elle revint vers nous, elle avait compris. Elle me regarda et me fusilla des yeux. Si ceux-ci avaient été des mitraillettes, j’aurais été exécuté sur place. Elle se leva, s’excusa vaguement et disparut dans la pièce d’à côté, sous prétexte d’un coup de fil urgent. Cela ne surpris personne, on était habitué à cela avec elle. Pour autant, je n’en menais pas large…
Quand elle revient, après cinq bonnes minutes, elle semblait certes remontée, mais aussi plus sereine. Et elle nous dit à tous :
— Je viens d’avoir au téléphone ce fameux nouvel investisseur dont je vous ai parlé. Finalement, j’ai l’impression qu’il m’a menée en bateau. Il va voir de quel bois je me chauffe. Je lui ai donné un rendez-vous la semaine prochaine. S’il ne vient pas, je lui supprime la location qu’il gère pour moi. Ce sera clair, net et rapide, et je mettrai ce bien en vente.
Si mon beau-père et ma femme n’ont pas vraiment compris de quoi elle voulait parler, de mon côté j’avais bien percuté. Le message était pour moi, et si je ne venais pas au rendez-vous la semaine prochaine au club 97, elle me retirait la gestion de la maison de vacances en Haute-Savoie pour la vendre.
Et elle ajouta en me regardant :
— Ce salopard d’investisseur doit être de votre génération Frédéric. Rassurez-moi sur la déontologie de votre classe d’âge. Si vous étiez à sa place, viendriez-vous à ce rendez-vous ? Et sauriez-vous vous montrer discret d’ici là sur nos conversations confidentielles, le temps que l’on ait mis les choses au clair ?
Ils me regardaient tous. Je ne disais rien.
— Mais réponds, me dit ma femme. Que ferais-tu toi, à la place de ce fumiste ?
Le comble, dans la situation délicate où j’étais, c’était que ma femme m’obligeait à répondre…
— Eh bien, me décidai-je enfin à dire, si j’étais à sa place je viendrais au rendez-vous, ne serait-ce que pour expliquer que comme dans toute négociation les torts sont sans doute à partager entre les deux partenaires. Oui, c’est sûr, je viendrais à ce rendez-vous. Eh oui, bien sûr je serais très discret d’ici là et même sûrement après, ce type de négociation devant rester effectivement très confidentiel entre vous et moi, chère belle-maman. Voilà ce que je ferais !
Je l’ai sentie alors moins stressée. Elle me regarda froidement cependant en me disant :
— J’espère que l’avenir confirmera vos propos, mon cher gendre.
Sur ce, ma belle-mère se leva et exigea de mon beau-père qu’ils rentrent chez eux rapidement. Effectivement, je n’avais pas le choix que de retourner au club pour ce rendez-vous très sensible…
.................
Une semaine après, je me retrouve quasiment à la même heure devant la porte du « Club 97 »…
Il faut dire que durant toute cette semaine j’avais imaginé toutes sortes de scénarios pour expliquer à Nadine comment on en était arrivés là. Pour autant, je n’avais vraiment pas d’idée bien précise pour débattre avec elle sur un sujet aussi sensible, surtout que je n’arrivais pas à me trouver coupable de ce qui était arrivé. Au final, je m’étais dit qu’il était préférable d’attendre ses arguments, et de faire au mieux par la suite.
Je sonnais donc, et la porte s’ouvrit sur une Laura toute souriante qui me fit la bise très chaleureusement.
— Bonjour Frédéric ! Quel plaisir de vous revoir. Nadine m’a prévenu de votre venue, elle vous attend dans son salon préféré.
Visiblement, ma belle-mère lui avait donné mon vrai prénom, ça commençait bien…
Après quelques mots de bienvenue, je payais cette fois mon entrée et laissais mes affaires au vestiaire.
Et Laura rajouta :
— Cet après-midi, c’est « tango », et il y aura une partie spectacle avec des danseurs professionnels.
Puis elle me prit discrètement par le bras et me souffla à l’oreille :
— Nadine a l’air bizarre aujourd’hui, je l’ai sentie stressée. J’espère que vous allez la décontracter. Mais j’ai vu la semaine dernière que vous savez y faire, dit-elle en me faisant un clin d’œil malicieux.
— Euh, je vais essayer lui répondis-je un peu gêné. C’est vrai qu’elle travaille beaucoup en ce moment…
Puis, la boule au ventre, je descendis les escaliers et pénétrai dans la salle de danse. Cette fois-ci, pas de personnes déguisées, pas d’anonymat. Et ça dansait bien, justement sur une série de tangos. Je supposais alors que cet après-midi serait très latino. Et si j’adore le tango, il me fallait cependant rejoindre Nadine…
En pénétrant dans le petit salon, je la vis qui me regardait. Visiblement, elle m’attendait de pied ferme. Je m’assis face à elle sans dire un mot. Vu le contexte, je ne m’approchai pas pour lui faire la bise que nous aurions dû échanger normalement. Si elle était habillée de circonstance pour cet après-midi « tango », corsage blanc légèrement échancré et jupe noire fendue sur le côté, même dans la demi-pénombre je sentais son regard acéré sur moi.
Elle mit quelque temps avant de démarrer. Puis elle se lança :
— Bonjour, Frédéric, me dit-elle d’une voix douce-amère. Mais peut-être faut-il que je vous appelle Lucas aujourd’hui encore ? Ou bien Judas ? Ou bien encore l’espion ?
Bon, ça démarrait fort, mais je m’y attendais un peu.
— Bonjour, Nadine, lui répondis-je. Je comprends votre rancœur à mon égard. Je vous dois certaines explications.
— J’y compte bien. Et vous avez tout intérêt à être franc, pour une fois…
Alors je me lançai. Je lui expliquai comment par hasard je l’avais vue entrer dans ce club de danse, et comment je m’étais retrouvé déguisé sans trop savoir ce qui m’attendait. Puis, ayant surpris sa « rupture » avec son jeune ami, je reconnaissais m’être enfoncé petit à petit dans cette histoire sans pouvoir faire marche arrière, et sans finalement imaginer la suite. Et puis il y a eu ce bracelet qui m’a dénoncé. Je lui ai alors assuré ma grande discrétion et le respect de son jardin secret que je ne me permettais pas de juger. Au final, je lui annonçai que mon souhait était de tout oublier. Après un moment de silence de silence entre nous, elle reprit :
— Vous êtes quand même un sacré salaud ! Comment avez-vous pu me pousser à flirter avec vous ?
— Flirter… Bon, visiblement elle voulait minimiser « l’incident ». Et bien sûr, c’était de ma faute.
Elle reprit :
— Dans ce flirt, moi j’ai flirté avec un inconnu, ce qui n’est pas si grave que ça finalement. Mais vous, vous avez flirté avec votre belle-mère… Et là, c’est autre chose. Vous rendez-vous compte de ce que vous avez fait ?
Je ne m’attendais pas à ça je l’avoue. Je réfléchis alors très vite. Visiblement, si on minimisait l’un et l’autre notre « flirt », cela pourrait peut-être arranger les choses.
— Oui, c’est vrai, repris-je. Mais je me suis trouvé pris dans un engrenage. Et vous m’apparaissiez alors comme quelqu’un d’autre, vous n’étiez pas ma belle-mère, vous étiez complètement différente de ce que je connaissais de vous. Une autre femme en quelque sorte… Oui, c’est ça, une autre femme. Si vous avez flirté avec un inconnu, moi j’ai flirté avec cette autre femme. Une femme qui n’avait rien à voir avec belle-maman. Une femme sexy. Je ne dis pas que vous n’êtes pas une belle femme dans la vie courante, mais là sincèrement, vous étiez très sensuelle. Finalement, ce n’est pas si grave que ça non plus de mon côté, je n’ai pas flirté avec ma belle-mère, mais avec une autre femme quasi inconnue…
J’étais plutôt content de moi. Et comme du coup elle ne disait plus rien, j’en profitai pour l’inviter à danser :
— Nadine, ces tangos sont sublimes. Me feriez-vous l’honneur d’accepter de danser avec moi ?
Je l’ai complètement déstabilisée. Sans attendre sa réponse, je me suis levé et l’ai prise par le bras. Elle s’est laissé faire, et je l’ai emmené sur la piste de danse. Et là, avec une certaine distance entre nous quand même, nous avons dansé toute la fin de la série des tangos.
Dans la situation où nous étions alors, il était un fait incontestable : nous avions encore pris un grand plaisir à danser ensemble. Si mon corps était en communion avec le sien, de son côté elle se laissait guider complètement. Il était clair que nous étions en harmonie parfaite, et nous savions alors que nous nous étions trouvés en tant que partenaire de danse. Ce qui est très difficile à concrétiser en matière de danse-rétros. Il est probable que le fait que nous fassions un couple de danseurs parfaitement en phase a dû compter entre nous pour ce qui est arrivé par la suite.
Après les tangos, nous nous dirigeâmes naturellement vers le petit salon pour continuer notre discussion.
Le spectacle des danseurs professionnels de tango argentin commença, et nous nous enfonçâmes dans deux fauteuils côte à côte, pour faire semblant de regarder.
Belle-maman me dévoila alors ce qu’elle attendait de moi.
— Frédéric, je dois vous dire que je suis furieuse après vous depuis que j’ai découvert votre supercherie. Je vous en veux très fort, jusqu’à imaginer de vous retirer la gestion de ma propriété des Alpes.
Nous y voilà. J’attendais la suite…
— Cela dit, je vais vous proposer un deal. Si vous l’acceptez, vous conserverez la gestion du chalet de Haute-Savoie. Si vous le refusez, je ne veux plus jamais entendre parler de vous. Et je trouverai tous les moyens pour vous éloigner de ma vie.
La connaissant, je savais que ce n’était pas de fausses promesses… Mais intrigué par ce deal, je lui demandai alors :
— Je suis prêt à écouter votre proposition, belle-maman. Et de tout mettre en œuvre pour trouver un terrain d’entente…
En disant « tout mettre en œuvre », je ne m’attendais cependant pas à la suite…
Elle hésita, puis elle se lança :
— Eh bien, voilà. Il se trouve que durant notre flirt, vous m’avez administré votre liqueur intime, et que dès que je l’ai eue en moi j’ai ressenti des effets immédiats. Et plus j’avalais votre liqueur, plus je ressentais ces effets.
— Que voulez-vous dire par là ? dis-je très étonné.
— Vous savez que je suis sujette à des chutes de tension fréquentes, parfois plusieurs fois par jour, ce qui me stresse en permanence et qui handicape ma vie. À tel point que je suis obligée de me retirer pour ingurgiter des cachets qui ne me font en fait aucun effet. Eh bien, après que vous m’avez administré votre potion, j’ai passé trois jours sans chute de tension, en parfaite harmonie avec mon corps, et par ailleurs complètement déstressée.
Là, je tombais des nues. C’était la première fois qu’on me parlait ainsi de ma liqueur intime…
— Bien sûr, continua-t-elle, je sais ce que vous pensez, c’est peut-être un effet placebo. Cela dit, on sait bien que dans la semence de l’homme, il n’y a que des vitamines. Et vu ce qu’elle m’a procuré comme bien-être, il y a une forte probabilité que j’y sois particulièrement « compatible ». Et de toute façon, même si c’est un effet placebo, l’important pour moi c’est que ça marche…
Interloqué, je lui demandai :
— Mais qu’attendez-vous de moi, alors ?
Sa réponse fut claire et nette :
— Que nous renouvelions l’essai aujourd’hui, pour voir si cela est encore aussi efficace sur moi que la semaine dernière. Et si ça marche, comme je le pense, je vous solliciterai à nouveau prochainement.
Alors là, je ne m’attendais pas à ça, loin de là. Ma belle-mère voulait une nouvelle fois me tailler une pipe…
— Je sais ce que ma proposition a de gênant pour vous et surtout pour moi, reprit-elle. Mais je serai claire : j’exige de vous que vous m’administriez votre semence aujourd’hui.
Petit silence de ma part. J’étais complètement hébété. Puis, me reprenant, je lui répondis malicieusement :
— Si je comprends bien, belle-maman, vous voulez aujourd’hui tailler une pipe à votre gendre ?
Je pense qu’elle s’attendait à ma réponse.
— Frédéric, je vais être claire avec vous. Oui, je veux récupérer votre liqueur, ceci pour vérifier son effet sur moi. Mais ne vous mettez pas en tête que je veux faire l’amour avec vous. Ou plus exactement que je veux me faire « baiser » par vous, comme les types de votre acabit disent. Vous ne me baiserez pas, je n’ai absolument pas envie de me faire baiser par mon gendre. Je vous demande que l’on pratique de la même manière que la semaine dernière. C’est tout.
Petit silence. Puis elle reprit :
— De toute façon, pour moi comme pour vous et pour tous les hommes sans doute, « sucer n’est pas tromper ». Donc je ne vous demande pas le Pérou. D’ailleurs, la semaine dernière, vous ne vous êtes pas vraiment fait prier que je sache… C’est à prendre ou à laisser, mais si vous refusez, les répercussions seront immédiates.
Je réfléchis alors très vite. Pourquoi ne pas essayer ? Finalement je ne risquais pas grand-chose, si ce n’est de me faire tailler une pipe par ma belle-mère de temps en temps… Mais y a pire comme punition ! Et il me fallait bien reconnaître qu’elle s’y connaissait en la matière.
— OK, Nadine. Mais à une condition. Je ne veux pas que ce soit un geste uniquement « mécanique » de votre part. Si moi non plus je ne souhaite pas faire l’amour avec ma belle-mère, pour autant il m’est indispensable que cela se fasse dans un moment érotique de plaisir. Et si la semaine dernière c’était vous qui meniez le jeu, aujourd’hui c’est moi qui prendrai la main et qui mènerai la danse, si j’ose dire ici… Et là aussi, de mon côté, c’est à prendre ou à laisser…
Elle me regarda fixement un long moment. Puis, après réflexion elle me répondit :
— Bon, c’est d’accord. Mais je vous préviens : je vous laisse la main, mais on reste sur la logique du flirt…
J’étais plutôt content de moi, je ne m’en sortais finalement pas si mal que ça…
Je réfléchis alors à la meilleure manière de créer ce moment d’érotisme. Et je me souvins que la semaine d’avant elle avait de suite joui quand je lui avais écrasé les seins et la chatte. Sans doute que, consciemment ou inconsciemment, elle avait en elle des pulsions de « SM soft » plus ou moins refoulées. Je me dis que cela valait la peine de vérifier cela…
Pour mieux prendre la main, je me rapprochai de son canapé.
— Allongez-vous sur le ventre Nadine, dis-je d’un ton autoritaire.
Après un temps d’attente, elle s’exécuta sans rien dire.
— Relevez lentement votre jupe, continuai-je.
Elle hésita, puis elle saisit sa jupe et commença à la remonter jusqu’à mi-cuisses.
— Plus haut, jusqu’à la taille…
Elle ne bougea pas.
— Attention, Nadine, nous venons de passer un accord, lui rappelai-je.
Je l’entendis dire « salaud », mais elle remonta sa jupe jusqu’à la taille en soulevant légèrement son corps pour permettre le passage du tissu.
Je découvrais alors qu’elle avait mis un string noir, qui mettait en valeur ses fesses sublimes. Et là, je restais quelques instants à profiter de ce spectacle de toute beauté. Dans l’écran pourpre du canapé, son cul était un véritable bijou. Un cul assez rebondi, avec de jolies fesses joliment bombées, parfaitement équilibrées par la ficelle du string qui disparaissait dans sa raie culière. Un régal pour les yeux. À genoux, je me collai contre le canapé, et d’un coup sec je lui claquai la croupe de ma main. Elle sursauta et réagit en se cachant les fesses avec les mains :
— Non ! Vous êtes cinglé ! Pas de ça !
— Taisez-vous, exigeai-je. Vous n’avez pas la parole. Enlevez immédiatement vos mains !
Après quelques secondes, elle s’exécuta et remit ses bras le long du corps.
Et là je commençai à lui administrer une fessée intense et soutenue. Je distribuais les claques en variant l’intensité, doucement au début puis de plus en plus fort ensuite. Je claquais le haut puis le bas, la fesse droite puis la fesse gauche. Et elle se tordait dans tous les sens, elle râlait de plus en plus fort. Parfois même, quand ça la brûlait trop, elle mettait une main pour se protéger, main que j’enlevais de façon ferme pour mieux recommencer à claquer ce cul absolument divin.
Et je n’avais aucun scrupule à faire cela, car nous savions tous deux que cela pouvait s’arrêter à tout moment. Il suffisait simplement qu’elle se mette debout.
En fait, le SM n’est pas vraiment ma tasse de thé. Pour autant, il m’était arrivé précédemment, dans ma période estudiantine, de rencontrer deux femmes « mûres » qui m’avaient demandé ce type de jeux sexuels, au final très soft. C’étaient des femmes qui avaient des responsabilités de commandement dans leurs vies professionnelles, et je pense qu’elles trouvaient une sorte de compensation cérébrale de devenir soumise ainsi. J’ai pensé alors que ma belle-mère était peut-être dans la même logique sans le savoir.
La fessée dura cinq bonnes minutes. Cinq minutes où je me défoulais en pensant à cette arrogance qu’elle avait parfois vis-à-vis de moi. Quel plaisir ! Et j’arrêtai quand le cul de Nadine fut complètement rouge et brûlant, strié de tous les côtés. Je dois bien reconnaître qu’à ce moment-là, je commençais à bander…
Je glissai alors une main sur ses fesses pour apprécier cette somptueuse croupe, palpant et caressant partout. Je l’entendis alors maugréer, sans pour autant faire quoi que ce soit pour retirer ma main. Quel plaisir de peloter le cul de sa belle-mère ! Puis je descendis ma main dans la raie. Elle essaya de m’empêcher d’aller plus loin en fermant ses cuisses, mais trop tard. Fichée entre ses fesses et collée à son sexe, ma main était humide, et même très humide…
— C’est bien ce que je pensais ! Tu aimes ça, n’est-ce pas ? Tu mouilles comme une pute…
Elle retourna hargneusement sa tête vers moi et me répondit :
— Vous êtes un véritable salopard !
Souriant intérieurement, je repris :
— Tourne-toi, mets-toi sur le dos. Ouvre complètement ton corsage et remonte ton soutien-gorge en haut de la poitrine !
Après un petit moment d’attente, elle s’exécuta. Désormais sur le dos, la jupe roulée à la ceinture avec le slip de dentelle noir bien apparent, lentement elle défit tous les boutons de son corsage. Et elle remonta son soutif bien haut, presque autour du cou. Ses seins apparurent. De beaux seins, de tailles moyennes (sans doute du 90 B), avec de belles aréoles brunes. Et les pointes dardaient comme des petits sexes dressés de plaisir. Entre sa chatte très humide et ses seins bien dressés, elle ne pouvait cacher l’excitation que cette fessée avait provoquée en elle.
La prenant par les cheveux en lui tirant la tête en arrière, j’approchai mon visage du sien et lui roulai une pelle d’enfer, fourrant ma langue dans sa bouche, collant littéralement mes lèvres aux siennes. Surprise, les yeux exorbités, elle me laissa faire en me laissant enrouler ma langue à la sienne. Si nous restâmes ainsi scotchés ensemble plusieurs minutes, elle ne bougea pas et me laissa faire.
Mais je n’oubliais pas que « j’avais la main ». Je me décollai d’elle, la repoussai en arrière et défis ma ceinture de pantalon. Chance, le matin j’avais choisi une ceinture étroite et en cuir souple. Je l’enroulais autour de ma main en laissant libre une petite lanière d’environ quarante à cinquante centimètres.
— Non, salopard, dit-elle effarée. Vous n’allez pas… ?
Sans répondre, je commençai à promener mon petit fouet ainsi constitué sur ses seins… qui dardèrent encore plus tellement ils étaient excités.
Je commençai alors à les fouetter doucement. Puis un peu plus fort… mais pas trop quand même. De toute façon, là encore elle pouvait arrêter si elle le voulait. Mais visiblement, elle n’en avait aucunement l’intention… Ses seins étaient durs, tendus comme deux offrandes vers la lanière de cuir…
— Arggggggg, criait-elle en se tordant dans tous les sens…
Puis tout de suite après :
— Plus fort, salopard… !
Le doute n’était plus permis, elle aimait ça. Alors, je f o r ç a is un peu plus et ses seins devinrent rapidement complètement zébrés de tous les côtés. Après plusieurs minutes de ce traitement, je posai ma main sur eux et les caressai avec plaisir, pour alterner le chaud et le froid d’une part, mais aussi pour me permettre de profiter plus prosaïquement de ce bon moment de pelotage. En me regardant dans les yeux, elle continuait à rester muette.
Puis je descendis des seins à sa chatte, en immobilisant ma main sur son pubis que je sentais palpiter à travers son string. Et là, c’était Niagara…
— Écarte les cuisses, salope, dis-je fermement.
Elle s’exécuta et présenta sa chatte à la lanière de cuir en surélevant légèrement son bassin avec ses pieds, les cuisses largement ouvertes et tendues vers moi. Et je me remis à fouetter d’abord doucement le bas de son corps, puis le haut de ses jambes. Enfin je visais spécifiquement ses lèvres intimes à peine dissimulées par la fine lanière de sa culotte… Et je f o r ç a i la dose, je fouettais de plus en plus durement. Et plus je fouettais, plus elle s’arc-boutait et s’approchait de moi pour ressentir plus fort les brûlures de ce qui était devenu un fouet… Et elle se contorsionnait, elle râlait, elle criait… C’était terriblement excitant, et là je me sentais désormais très à l’étroit dans mon slip…
À ce stade de la situation, j’eus un moment de lucidité et me suis dit que la situation en une semaine était devenue quasiment incroyable. Ma belle-mère, plutôt distante vis-à-vis de moi, s’était transformée en huit jours en une femme sensuelle, chaude et excitante. Non seulement elle m’avait sucé et s’était masturbée sur ma main la semaine d’avant, mais aujourd’hui, quasiment nue devant moi, elle mouillait de plaisir quand je la pelotais, la fessais et la fouettais.
Cette pensée passa cependant rapidement, surtout quand je posai ma ceinture et que je pris en main ses seins que je me mis à comprimer de plus en plus fort. Alors, me regardant dans les yeux, elle fit glisser elle-même sa culotte le long de ses cuisses, puis d’un mouvement de ciseaux des jambes l’expédia de l’autre côté du canapé. Et toujours en me regardant, elle écarta le plus largement possible ses cuisses. Et là, je découvris sa magnifique chatte, rasée de près avec juste le ticket de métro qu’il fallait, beau fruit qui visiblement ne demandait qu’à être dégusté…
Et glissant sa main entre ses cuisses elle commença, toujours en me regardant, à se caresser en soulevant lascivement son bassin. Je pris cela pour une provocation. Je saisis alors avec une main la pointe dressée d’un de ses seins pour la broyer le plus possible. En même temps je pris entre mes dents la pointe de l’autre sein et commençai à serrer, à mordiller très fort… La réaction fut immédiate : elle hurla…
— Haaaaaaaaaa… salaud ! Aïe aïe aïe aïe… ! Hummmmmmmmm…
Et plus j’écrasais ses pointes de sein, plus elle se cambrait, les cuisses complètement ouvertes, se branlant de plus en plus vite, de plus en plus fort. C’était très beau, ses doigts allaient et venaient sur ses lèvres, sur son clito, en même temps qu’elle décollait ses fesses de plus en plus vite…
Et tout à coup, elle fut emportée par un orgasme fulgurant, un orgasme de très forte intensité durant lequel elle fut soulevée plusieurs fois par cette marée déferlante. Elle hurlait en même temps qu’elle enfonçait ses doigts dans sa chatte. Sa tête allait dans tous les sens, son corps était sous l’emprise de tremblements incontrôlables, elle semblait possédée par un courant électrique qui la tétanisait de plaisir. Whaouuuuuuuuu… c’était sublime !
Puis elle s’écroula d’un seul coup les bras en croix, complètement assommée. Elle ne bougeait plus, les mains crispées sur les coussins du canapé… Et elle resta ainsi un bon moment, les yeux révulsés sous la vague du plaisir qu’elle venait de recevoir. Un grand moment de plénitude…
Je ne m’étais pas trompé, ma belle-mère semblait bien apprécier le SM… Tout au moins le SM soft…
Quand Nadine reprit pied sur terre, elle se mit sur un coude et me regarda d’abord sans dire un mot. Je suppose que dans sa tête beaucoup de choses se bousculaient concernant notre relation belle-mère/gendre. Puis je vis son regard descendre le long de mon corps, pour se poser sur la barre qui apparaissait nettement dans mon pantalon. Et là, elle commença à se décrisper.
Sur la scène, les danseurs venaient de terminer leur show sous quelques applaudissements sporadiques ici ou là. Et comme la fois dernière, une petite sonnerie annonça la dernière demi-heure.
— Maintenant, lui dis-le avec une certaine dose d’humour, belle-maman c’est à vous de venir prendre votre dose…
D’abord elle hésita un peu, pas trop cependant. Et elle se rapprocha de moi et posa doucement sa main sur la fameuse barre. Et là, elle ne bougea plus. Je me doutais de ce qui se passait dans sa tête : si la semaine dernière elle s’était lâchée avec un inconnu (car avec mon déguisement, elle ne savait pas que c’était moi), là ce n’était pas la même chose. J’étais quand même son gendre, le mari de sa fille, et elle avait cependant la main posée sur ma bite…
— Eh oui, lui dis-je, je sais. Ce n’est pas facile pour vous, Nadine. Mais bon, ce n’est qu’un flirt, non ?
Elle hésita encore, puis elle se décida à ouvrir ma braguette pendant que je soulevai mes fesses pour qu’elle puisse faire glisser mon pantalon sur mes mollets. Puis, me regardant dans les yeux, elle fit de même avec mon slip. Et elle se retrouva alors avec une bite de belle taille et de bon gabarit dressée devant elle, bite qu’elle connaissait déjà…
Arrêt sur image de sa part. Elle approcha sa main, puis la retira. Là encore, ça devait travailler dur dans sa tête : la semaine dernière c’était la bite d’un inconnu, là c’était celle de son gendre. Je décidai alors de l’aider.
— Je comprends ce qui se passe en vous, belle-maman. J’ai eu les mêmes scrupules la semaine dernière. Laissez-moi faire. Fermez les yeux.
Je l’ai sentie un peu rassurée. Timidement elle s’exécuta en fermant les yeux. J’avançai alors ma bite vers elle et me mis à frapper sèchement son visage avec. Je lui administrais des petites « bifles », c’est-à-dire des gifles avec la bite. Elle semblait étonnée de cette pratique, mais elle se laissa faire, sans doute parce que finalement cela ne devait pas lui être très désagréable…
Au bout de quelques instants, je lui dis alors :
— Ouvre grand ta bouche, salope ! Et continue à bien fermer les yeux !
Ce qu’elle fit… et je plongeai rapidement ma queue dans sa bouche bien à fond. Elle referma ses lèvres autour de mon sucre d’orge qu’elle avala complètement. Et quand je fus bien calé en elle, je l’ai prise des deux mains par les cheveux et commençai doucement à faire aller et venir sa tête le long de ma queue. En fait, je me servais d’elle et de sa bouche comme d’un masturbateur.
— Belle-maman, laissez-vous allez à cet instant de bonheur. Pensez qu’un inconnu vous baise la bouche.
Puis, plus sèchement :
— Pense à la pute que tu es en ce moment ! Profite au maximum !
Elle ne pouvait faire autrement que de coopérer à fond… si j’ose dire ! En faisant des allers et retours avec sa tête le long de ma bite, je me branlais délicieusement dans sa bouche bien lubrifiée. Un grand bonheur ! Puis après ces petits « amuse-gueule », je décidai d’aller plus loin. Et je m’enfonçai bien profond. Quand je sentis que je heurtai ses amygdales, je basculai légèrement sa tête pour passer l’obstacle et m’enfonçai encore plus loin au fond de sa gorge. Là, alors qu’elle avait la tête collée à mon ventre, je passai ma main le long de son cou pour palper ma queue à travers la paroi de chair.
Complètement ahurie de ce qui lui arrivait, elle faisait tout pour ne pas s’étrangler en respirant fortement par le nez. Et je rythmais la cadence en fonction du plaisir que je commençais à sentir monter en moi. Hummmmmmmmmm. ..
Je l’ai vue bouger alors légèrement. Toujours les yeux fermés, elle glissait à nouveau une main entre ses cuisses et recommençait à se caresser. Décidément, je ne pouvais que constater que ma belle-mère était très chaude…
Comme par hasard, Laura passa la tête dans le salon pour, semblait-il, récupérer quelques verres vides. Elle nous aperçut fort occupés. Elle me sourit et m’envoya un petit bisou à distance en me faisant ensuite le V de la victoire avec ses doigts avant de disparaître tout aussi discrètement qu’elle était apparue. Une petite coquine quand même, cette Laura… !
Son passage me mit du baume au cœur, et je secouai de plus en plus vite la tête de Nadine, tête qui glissait de plus en plus facilement le long de ma queue, de ses lèvres au fond de sa gorge. Elle se mit alors à feuler d’abord doucement, puis de plus en plus fort, pour autant que le lui permettait sa bouche bien remplie. Et elle se mit à se caresser de plus en plus vite, de plus en plus fort. Jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus se contrôler, et qu’elle jouisse une nouvelle fois, arc-boutée sur le canapé.
C’en était trop pour moi, je ne pouvais plus tenir ! Pendant qu’elle jouissait sous l’emprise de soubresauts incontrôlables, je me déchaînais en secouant sa tête très vite. Puis, me sentant à la limite de l’explosion, je la bloquai contre mon bas-ventre, une de mes mains la tenant toujours par les cheveux et l’autre la tenant carrément par la gorge dans laquelle je m’étais enfoncé le plus profondément possible.
Là, en me branlant avec ma main le long de son cou qui servait de vagin à ma bite, je lui déchargeai directement dans l’œsophage de longues rasades de la lotion qu’elle attendait. J’avais vraiment l’impression que je la gavais comme une oie ! Plus je giclais en elle, plus j’en avais encore à lui donner. Et comme elle ne pouvait bouger toujours bloquée contre moi, elle faisait des mouvements de cou pour absorber les lourdes salves onctueuses que je propulsais en elle. Ce traitement amplifiait sa jouissance, car je l’entendais jouir et déglutir en même temps qu’elle enfonçait ses doigts dans sa chatte très profondément.
Mais sachant qu’elle aimait déguster mon nectar intime, je me retirai de sa gorge pour finir les dernières giclées dans sa bouche. Que c’était bon de se vider en lui servant dans la bouche une belle purée grasse et lourde alors qu’enfin elle ouvrait les yeux en me regardant fixement ! Elle était en pleine extase… et moi aussi !
Je me retirai doucement d’elle et la regardai faire. Elle ferma la bouche et je vis qu’elle savourait mon jus de couille en se le passant de droite à gauche dans la bouche, tout en faisant des petits « hummmmm » à peine perceptibles. Visiblement, elle se régalait… Puis, toujours en me regardant droit dans les yeux, elle avala tout n’en laissant rien perdre.
Ne voulant rien gâcher, je pressai fermement ma bite pour faire sortir les dernières gouttes qu’elle attendait la bouche grande ouverte. Comble de la perfection, elle se lécha les lèvres ensuite. Une vraie experte de la pipe !
Finalement, je trouvais que le deal passé avec elle avait plutôt de bons côtés… Et comme elle n’avait pas encore totalement atterri, je décidai de lui laisser encore un dernier souvenir de cette après-midi.
Je lui écartais les jambes et pris une petite lingette parfumée qui était à disposition des clients sur la table. Doucement, je la lui passai ensuite sur sa chatte et sur le haut de ses cuisses avant de la jeter dans la corbeille à côté. Hébétée, n’en croyant pas ses yeux, elle me laissa faire en me regardant curieusement. Puis j’attrapai sa culotte, et la lui remis en la passant d’abord par les pieds et en la remontant jusqu’aux hanches, sans oublier de glisser mes doigts entre ses fesses pour bien vérifier que la ficelle du string était au bon endroit… Enfin, tranquillement, et toujours devant son air ahuri, je rebaissai sa jupe puis remis en place ses seins dans son soutien-gorge, là aussi en vérifiant bien qu’ils soient correctement en place… avant de refermer méticuleusement les boutons de son corsage.
Elle était complètement décontenancée… Non seulement son gendre venait de lui faire découvrir à travers la fessée, le fouet et les biffles une sorte de SM doux, où elle avait joui deux fois en se régalant de son sperme, mais en plus il venait de la rhabiller avec des attentions très intimes… S’il était sûr que des hommes l’avaient déjà déshabillée auparavant, sans doute que jamais un homme ne l’avait rhabillée, tout au moins avec de telles attentions…
Alors que je la regardais avec un petit sourire, elle me lança mi-figue, mi-raisin :
— Mon cher gendre, si comme je le pense votre lotion m’est profitable, je vous rappelle que la prochaine fois c’est moi qui prendrai la main. Et vous vous en souviendrez, n’en doutez pas !
Était-ce de l’humour ? Pas facile à dire vu les circonstances. À ce stade-là, elle devait être pas mal perdue dans notre relation belle-mère/gendre… Cela dit, je constatai qu’elle était devenue très sereine, voire même décontractée. Si les deux orgasmes étaient passés par là, le fait d’avoir avalé ma semence contribuait peut-être à cette espèce de « zen attitude » qu’elle affichait. Finalement, je commençais à me dire (un peu hypocritement je l’avoue !) qu’effectivement me tailler une pipe lui était sans doute bénéfique. Hummmmmmm… la vie est vraiment pleine de surprises !
Au vestiaire, comme si de rien n’était, elle me signala très courtoisement qu’elle viendrait avec mon beau-père chez nous le lendemain soir pour l’apéritif. Elle me conseilla « vivement » d’être là, me fit un rapide bisou très proche des lèvres, et disparut rapidement. Je constatais que ma cote avait l’air d’avoir augmenté vis-à-vis d’elle, et qu’elle était désormais très en forme !
Je saluai Laura avant de partir. Elle aussi me fit un bisou, certes sur la joue, mais quand même très appuyé, en me disant :
— Vous êtes très beaux tous les deux. Elle a vraiment de la chance, vous faites un beau couple. À très bientôt j’espère, Frédéric…
Je m’éclipsais rapidement, me demandant ce qui m’attendait pour cet apéritif…
Dans la journée du lendemain, je reçus un mail sibyllin de Nadine :
« Prévoyez mon cher gendre de m’accompagner le week-end dans deux semaines pour les olympiades européennes d’échecs en Suisse. Nous laisserons mon mari et votre femme aller avec les e n f a n t s aux noces de diamant prévues. Je vous en reparle ce soir à l’apéritif. Ce mail doit rester strictement entre nous. »
Effectivement, ce week-end-là nous devions aller dans le nord de la France à une fête familiale du côté de mon beau-père. Si cela me rasait, ma belle-mère encore plus. Il se trouve qu’en principe elle avait prévu de ne pas se rendre au championnat européen d’échecs qui se tenait en Suisse, à quelques kilomètres de la propriété de Haute-Savoie. Bien évidemment, je ne dis pas un mot de ce mail à mon épouse, et je me préparais donc à accepter cette bizarre proposition de ma belle-mère.
Le soir venu, alors que nous étions réunis tous les quatre, Nadine nous expliqua ce qu’elle avait imaginé.
— Vous savez que j’ai tenté de remporter à deux reprises le Championnat d’Europe d’échecs et que je me suis fait étaler en finale ces deux fois par la candidate tchèque.
— Oui, maman, lui répondit ma femme. C’est pourquoi cette année tu as décidé de ne pas concourir pour ne pas te faire ramasser une troisième fois. Et on ira tous aux noces de diamant prévues.
Après une petite pause, ma belle-mère reprit :
— Eh bien, j’ai changé d’avis. Les deux fois où j’ai concouru, j’ai perdu parce que j’ai paniqué en fin de partie et la Tchèque en a profité pour me voler cette première place. Place qui, je vous le rappelle, est accompagnée d’un prix de 20 000 euros quand même.
Petit flottement dans la discussion…
— Bon, dit ma femme après réflexion, on ira sans toi aux noces. Mais qu’est-ce qui te permettrait de gagner cette fois-ci ?
Ma belle-mère me regarda, puis se lança :
— Eh bien, j’ai envie d’essayer une dernière fois. Je pense que si j’étais mieux préparée et mieux entraînée, je serais moins stressée. Et, moi qui ai toujours refusé d’avoir un coach comme les autres candidates, là je pense avoir pensé à la bonne personne.
— Et qui est ce coach idéal ? ajouta Céline un peu interloquée.
Après un petit temps d’attente, ma belle-mère reprit :
— C’est une préparation basée sur des algorithmes mathématiques dont j’ai besoin, des petits programmes informatiques simples. Je suis sûre que cela me déstresserait. Cette personne passerait deux heures avec moi le vendredi, la veille des éliminatoires, puis le lendemain deux heures encore la veille de la finale. Vu ce que je sais du travail de Frédéric, il me semble qu’il pourrait être ce coach.
Il y eut alors un nouveau flottement dans la discussion. Puis tout le monde se tourna vers moi, attendant ma réaction.
En fait, j’avais bien compris « l’entraînement » que je devais pratiquer avec Nadine. Un entraînement basé peut-être sur des équations mathématiques, mais surtout sur mon élixir intime… qui aurait des vertus particulières sur ma belle-mère. Cela dit, non seulement je pouvais difficilement refuser, mais en plus j’avoue que je préférais nettement aller en Haute-Savoie ce week-end-là plutôt que de me rendre à cette fête que je trouvais complètement ringarde. De plus, en Savoie, je pourrais certainement retrouver quelques copains de ski.
— Euh, répondis-je un peu gêné, cela voudrait dire que je n’irai pas aux noces de diamant. Mais vu l’enjeu pour vous, belle-maman, et si tout le monde est d’accord, je suis prêt à essayer.
Vu que ma femme semblait réticente, ce fut mon beau-père qui fit pencher la balance.
— Bon, c’est une fête qui est surtout de mon côté familial. Je crois que cela ne posera pas de problème si j’y suis seulement avec Céline et les e n f a n t s. Et nous vous excuserons. De toute façon, on sera presque deux cents. Alors, deux de plus ou deux de moins…
Ma femme soupira, puis accepta en disant :
— Si tout le monde est d’accord, alors je m’y résous aussi. Mais tu en profiteras Frédéric pour préparer notre venue pour les vacances d’été. Il y a des provisions de conserves à faire et des étagères à poser dans la cave.
Ma belle-mère reprit alors :
— Céline, j’aimerais que tu en profites pour passer chez le notaire là-bas. Je te laisserai un pouvoir pour me représenter. Ce n’est pas urgent, mais autant en profiter et cela m’évitera un déplacement plus tard. Il te suffira de partir deux jours plus tôt en train, et Patrick te rejoindra en voiture avec les e n f a n t s le week-end.
Après une courte hésitation, ma femme me regarda, puis devant mon sourire conciliant accepta. Je me suis dit que si elle devait être contente de la confiance que lui faisait sa mère, elle était aussi heureuse d’être libre pendant deux journées pour revoir ses cousins et ses cousines.
De mon côté, j’avais bien compris la manip de ma belle-mère : elle éloignait sa fille deux jours avant que l’on se retrouve elle et moi en Savoie. Ceci pour éviter que je « m’occupe » un peu trop de ma femme juste avant le week-end, et qu’au contraire elle puisse bénéficier de doses d’entraînement « bonifiées » de ma part ensuite… Très habile de sa part !
Tout le monde semblait satisfait de l’accord trouvé. Moi aussi, même si quand parfois ce soir-là le regard de Nadine croisait le mien, j’y sentais une lueur troublante.
Au moment de partir, alors que nous nous trouvions seuls quelques instants elle et moi dans l’entrée, elle me glissa à l’oreille :
— N’oubliez pas, mon cher gendre, que c’est moi qui aurais la main durant ce week-end de championnat. Et quand vous serez seul deux jours avant de partir, ne gâchez surtout rien sans moi… si vous voyez ce que je veux dire. Restez sage. J’aurais besoin de toute votre énergie…
Message compris… !
J’ai eu à ce moment-là l’impression que ces deux journées allaient être très particulières. Et cela fut effectivement le cas…
Alain Michel
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